Nous avons le souci de développer des gammes apportant des formulations plus saines, que ce soit au niveau de leur impact sur notre corps comme sur celui sur l'environnement.
C'est pourquoi nous avons commencé à indiquer dans nos rayonnages les produits les mieux notés sur l'application INCI beauty qui recense les perturbateurs endocriniens et autres composants suspectés cancérigènes.
Nous avons donc recherché des laboratoires répondant à cet esprit et à cette exigence.
Le laboratoire "La Rosée" correspond parfaitement à ce souci environnemental avec des emballages rechargeables ou allégés en plastique.
Même point positif au niveau des compositions produits.
Une gamme d'hygiène complète, au succès déjà installé, qui nous a convaincu par ses vertus.
Il a fallu faire des choix pour l'implantation donc nous n'avons pas développé toute la gamme, n'hésitez pas à nous solliciter s'il nous manque une référence, nous ferons en sorte de nous dépanner !
C'est du côté de l'Italie qu'on se dirige pour découvrir cette gamme de solutions à base d'aloe vera récoltée et valorisée manuellement.
Le laboratoire zuccari a en effet choisi de récolter et peler les feuilles manuellement pour extraire le jus de la plante, se démarquant ainsi de la manière commune consistant à broyer la plante en poudre et la reconstituer avec de l'eau. On imagine aisément que cette méthode "douce" permet de conserver tous les bienfaits du végétal !
Pour le moment nous avons référencé le jus à boire (revitalisant, reminéralisant contre le déséquilibre acido basique...), le gel (brûlures, irritations...), les sachets buvables contre l'acidité de l'estomac et les sticks contre les cystites.
A bon entendeur !
Nous l'avons référencé car il propose une palette de mélanges de plantes et d'huiles essentielles dans sa gamme orange ainsi que des solutions à base d'extraits d'algues dans sa gamme verte, le tout sur une base de carbonate de calcium extrait de coquilles d'huitres. Cette base permet d'assurer un rééquilibrage du pH de l'organisme en cas de troubles acido-basiques.
Nous relayons cette enquête de l'association "Bon Usage du Médicament" qui va permettre de faire un point sur la connaissance de l'impact de l'industrie du médicament sur notre environnement.
A l'heure où nous ne pouvons plus ignorer la nécessité de modifier nos habitudes de consommation, il est bon de se pencher sur le médicament, indispensable à la santé de beaucoup mais qui est peut-être trop rentré dans les mœurs comme un produit de consommation courante, avec les conséquences que cela peut impliquer.
Cliquez ci dessous pour être redirigés vers la fiche donnant des petits conseils pour éviter de s'y exposer, surtout pour les populations sensibles (enfants, adolescents, femmes enceintes...).
Petit focus sur le bon usage des médicaments antidouleur, en automédication et sur prescription médicale.
Le constat est net : l'obésité et le surpoids infantile ont augmenté ces dernières années, créant un réel problème de santé publique.
Plusieurs facteurs entrent en cause. Certains que l'on peut difficilement maitriser mais aussi d'autres sur lesquels on peut intervenir : la nourriture qu'on ingère et ce que le corps en fait.
Il n'est plus un secret que l'alimentation transformée et la sédentarité sont des causes majeures de ce phénomène de société. Une action, même modérée, sur ces sources de stress corporel ne pourra être que bénéfique.
Pour l'alimentation, encore faut-il avoir des notions générales relatives aux familles d'aliments. Ca tombe bien, on a fait un chapitre là dessus !
Venez le consulter, que ce soit pour des notions générales ou du plus pointu pour les amis sportifs.
Dans tous les cas, si on peut retenir quelque chose, c'est qu'il faut éviter un recours systématique aux plats tous prêts industriels.
Pour les familles concernées, le top du top serait bien sûr de consulter un nutritionniste.
Pour ce qui est de l'activité physique, le sport est important mais n'en est qu'un aspect. Pour les enfants qui ne se sentent pas forcément à l'aise dans le cadre parfois rigide du sport licencié, certains réflexes simples permettent d'augmenter la dépense physique, donc de limiter le stockage des graisses et sucres.
Limiter le temps d'écran, privilégier les activités d'extérieur...
Dans tous les cas, en cas de refus, on ne se décourage pas !
La réponse sur le site de l'assurance maladie ameli.fr en cliquant sur la photo!